Que votre premier réflexe soit la bienveillance. Elle consiste à vouloir ne pas nuire à d’autres en toute rencontre. Elle vous amènera à poser sur votre partenaire un regard de permanente clémence.

Ne passez jamais à côté d’une peine, d’une souffrance ou d’une difficulté sans qu’intérieurement vous ne la partagiez avec celui qui la subit. La compassion reste la porte de la guérison.

Que vos paroles et vos gestes soient enveloppés de douceur. Elle reconnaît les conflits et n’ignore pas leur rudesse. Mais elle prépare le terrain pour que dialogue et rencontre puissent avoir lieu dans la paix et la sérénité.

Malgré la déchirure, malgré la sournoise impression de devoir s’abaisser, le pardon recrée les amitiés et les solidarités.