Emettre quelques vœux, c’est en quelque sorte lancer un message en espérant qu’il parviendra sur un rivage où il sera lu.
La crise que nous vivons tient sans doute au manque de repères stables ou cohérents face au chômage, l’exclusion ou encore l’humanitaire.
Notre monde actuel privilégie systématiquement le court terme, toujours plus, toujours plus vite et le plus tôt possible. C’est encore un monde qui souhaite toujours plus de croissance sans voir qu’il doit consacrer de plus en plus de moyens à l’élimination des pollutions de cette même croissance.
Pour affronter les mutations que chaque jour la science et la mondialisation de l’économie nous imposent, notre société a besoin de couples, de familles, d’entreprises, d’associations, de communes et de communautés dans lesquels le dialogue et l’écoute de l’autre sont des réalités vécues avec persévérance.