Dès le 2 janvier il était question d’un suivi post homologation de Cruiser.

Trois mois après, rien n’était préparé, mieux le 10 avril, les services centraux du ministère de l’Agriculture cherchaient encore des ruches. Curieusement une offre de participation parvenue à la Direction Générale de l’Alimentation et à la Protection des Végétaux n’a reçu aucune réponse. Selon nos informations, l’impact des semis sur les abeilles serait réellement observé sur un seul site et sur quelques ruches.

Nous invitons les apiculteurs installés à proximité immédiate de maïs traité à se montrer vigilants et à nous transmettre leurs observations. Cet automne, si réunion il y a, nous disposerons nous aussi de nos propres informations. Si elles ne sont pas officielles, elles auront le mérite d’exister.

D’autres états membres connaissent également de réelles difficultés.