La libre circulation à la surface du globe des personnes, des capitaux, des technologies,

des informations devrait permettre le développement harmonieux des contacts humains, l’accès généralisé au progrès des connaissances, une meilleure coopération internationale et une grande solidarité.

Face à ce défi, les peuples ainsi que leurs dirigeants, voire certains états, sont capables du pire comme du meilleur.


L’homme, heureusement, n’est pas dénué de moyens pour réagir.