Leur mise en œuvre nécessite seulement des hommes compétents, lucides, courageux, capables de mobiliser contre les dérives, les méfaits chaque jour amplifiés de la déforestation, la pollution des eaux, la détérioration des climats…

Ces dirigeants doivent percevoir le milieu naturel comme une réserve de ressources forcément limitées à protéger faute de quoi la « terre violée deviendra tombeau pour l’homme ».

Et l’apiculture dans ce contexte ?

Rivée au butoir du passé où tout était relativement facile, est-elle prête pour un « à venir » ?