Vite informé, vite rédigé : le message de bienvenue du S.N.A. rappelle à tous les présents les difficultés de l’apiculture en général. Un coup d’épée dans l’eau lorsque l’on regarde le sort réservé, notamment aux petits apiculteurs, dans ce rapport. Vous irez dans les associations de type sanitaire par exemple et à partir de 32 ruches, voire de 70, vous serez peut-être dans le mouvement syndical. Un jour sans doute, pour ceux qui rêvent de voir disparaître le SNA et l’UNAF en tant qu’Associations Fédérales régies par la loi de 1884, leurs vœux se réaliseront, sauf que nous n’allons pas nous laisser faire.

Dossier luzerne : s’il est vrai que celui-ci ne concerne que quelques régions et notamment la Champagne Ardenne. Il est réconfortant que voir qu’un député de la Côte-d’Or a présidé le colloque su le thème « sauver la luzerne » et a notamment insisté sur le fait qu’elle consomme peu d’intrant, fournit aux abeilles un pollen qui aide à leur longévité hivernale et qu’elle est un fer de lance de l’agriculture biologique.

Au niveau de ma région, un délégué S.N.A. participe à la construction d’un projet tandis qu’au niveau national nous maintenons les contacts avec le syndicat des coopératives de déshydratation.

Cruiser maintenant : quatre réunions pour conclure qu’il en faut une cinquième et que tout va bien, même si les résultats ne sont pas tous connus. Impossible de faire admettre que l’on puisse entendre des scientifiques spécialistes de l’abeille. Le dossier a été accepté par l’AFSSA, parole d’évangile qu’il est impossible de discuter avec d’autres chercheurs.