Et pour demain, avec d’autres plantes plus attractives encore, les crucifères par exemple, quelle conséquence pour les espèces de la même famille et pour l’environnement ? Demain, l’apiculture de qualité traditionnelle sera-t-elle en quelque sorte soumise à un régime de liberté conditionnelle ?
Dans un premier temps, même si les OGM paraissent à certains avoir un devenir, pourquoi ne nous sommes-nous pas concentrés à des cultures sous serres ou en laboratoire pour la seule recherche à des fins médicales par exemple. Les OGM restent la plus grande transgression jamais faite à la nature, leur place est effectivement dans les laboratoires. Si on les lâche dans la nature, quel sera le retour de bâton.
Y. VEDRENNE