Mi-juin, l’Académie d’agriculture, groupe abeille et agriculture, dont l’objectif est de présenter un catalogue de propositions à la mi-octobre, se réunissait une dernière fois.

Plusieurs scientifiques ont tenté d’analyser les causes du dépérissement des abeilles. Certain a proposé une gestion de l’aménagement rural alliée des abeilles. Tel autre a suggéré des pistes d’amélioration mais personne en fait n’a de réponse exacte et définitive. Les mesures à prendre relèvent du bons sens mais également et surtout de l’utilisation de plus en plus raisonnée voire l’absence des pesticides en agriculture.

Dans la foulée, à Namur, l’association Nature et Progrès, initiateur d’une journée « Dépérissement des abeilles », invitait de nombreux scientifiques. En Belgique, les mortalités sans cause apparente sont très importantes et le gouvernement refuse de prendre des mesures d’interdiction pour certains pesticides, comme ce fut le cas chez nous.