Le groupe miel du COPA/COGECA s’est d’ailleurs saisi de cette situation et les premières réflexions sur cette coexistence éventuelle entre culture conventionnelle, élevage et culture OGM ont fait l’objet d’un premier rapport transmis prochainement dans les antennes départementales.

Satisfaction par ailleurs et en espérant que cette fois-ci le dossier est définitivement classé. La Cour d’Appel de Paris a confirmé que les organisations syndicales nationales, contrairement à ce qu’affirme, depuis plusieurs années, une organisation désormais minoritaire, était bien représentative du mouvement syndical apicole français.

Nous espérons mais surtout nous souhaitons, que ce dossier soit définitivement classé par nos adversaires. Des sommes importantes nous ont été attribuées qui ne couvriront pas les frais engagés et susciteront peut-être chez nos adversaires mais néanmoins partenaires de la filière apicole, un peu plus de retenue. 20 000 E non compris les dépens, doivent être versés, avant toute autre procédure, aux deux organisations syndicales nationales.

À l’image de la météo de cet été commençant, tour à tour soufflent le froid et le chaud.

Dans quelques jours maintenant, nous aurons une nouvelle réunion du groupe de travail du Comité de pilotage apiculture avec les représentants de la Direction Générale de la Production et des Échanges. L’enveloppe budgétaire du programme apicole français pourrait être de 5 ME mais le programme français a été estimé à 5,5 ME.