Il existe déjà un rucher sur le toit du Conseil général, il est prévu l’installation d’un rucher sentinelle et de dix ruchers dans tout le département afin d’effectuer des analyses régulières à partir des prélèvements de pollen.

Dès l’instant où toutes les structures associatives et syndicales sans distinction sont parties prenantes, on ne peut que souhaiter la multiplicité de projets semblables.

Toutefois, cette perte de biodiversité globale et spécifique reste non pas une préoccupation nationale ou européenne mais mondiale. Aussi sommes-nous tout à fait satisfaits de la décision de l’Europe d’accepter une MAE apicole. Attention, une fois de plus, cela ne concernera qu’un certain nombre d’apiculteurs, partout dans les régions où ce projet aura été inscrit par le préfet dans les Mesures agro-Environnementales. Ainsi, dans le Limousin ou la Champagne, la préoccupation majeure a été l’eau.

Nous devrions en savoir plus dans les prochaines semaines.