Nous avions demandé, voici de nombreuses semaines dans les ministères concernés, la mise en place d’un projet de recherche : silence radio.

Finalement, ce Grenelle de l’environnement fut d’abord celui de la communication environnementale et nous nous acheminons vers un projet de loi. Comment pourra-t-il dans sa rédaction protéger par exemple les agriculteurs « bio » (20 % dans les années à venir, a-t-on entendu),
préserver le libre exercice de l’apiculture… sans être en contradiction avec l’Union Européenne, tout ceci naturellement avant les semis de printemps comme le souhaite le président de la FNSEA.

Les scientifiques, les professionnels de l’économie, les élus entrent en lice.

Discrète, mais bien présente, l’administration reste aux commandes. Aura-t-elle le dernier mot ?

Tout reste à écrire, tout reste à recommencer… mais avec quel budget ?

Y. VEDRENNE