Nous évoquerons à nouveau le financement éventuel des éternelles recherches sur le varroa depuis vingt ans et bien d’autres sujets liés directement ou indirectement à l’apiculture.

Nous n’oublierons pas quant à nous de renouveler notre demande pour une aide à apporter aux ruchers-écoles et aux cercles d’élevage départementaux ou régionaux. Cette demande reste financièrement très modeste. Pour l’essentiel, le bénévolat est le moyen de fonctionnement, il a prouvé son efficacité dans de nombreux domaines apicoles.

A vouloir ignorer et restreindre l’apiculture familiale par des contraintes sans cesse ajoutées (guide des bonnes pratiques, quantité minimale pour une production primaire), il est clair que sous le parapluie bienfaiteur de la réglementation européenne, une minorité d’entre nous souhaite s’accaparer la totalité des fonds et nous enfermer dans des contraintes. Le maillage apicole assuré par vous tous, si l’on n’y prend garde, finira par disparaître sous le poids de la législation qui s’ajoute à toutes nos vicissitudes du moment.

Y. VEDRENNE